• Un article court et rapide pour annoncer quelques nouveautées et surtout une série de photo "de mode" faites par mon amie Sarah (son blog : http://lesdemoisellessencanaillent.over-blog.com/) ou je prends la pose !!! Oui vous pouvez rigoler...

    Bref quelques avant goût avant mettre l'article en ligne (qui sera également sur le blog de Sarah) !!

    A tout de suite !!!

    Persos photos

    Et quelques fleurs pour le plaisir :

    Persos photos


    De plus ce temps ne donne pas envie ? Quel soleil cette semaine !!

    Bien à vous,

    Ichigo

     

     



     


    votre commentaire
  • Persos photos


    Née pauvre, elle n'eut de cesse que de masquer ses origines. Toute l'existence de cette reine de l'Allure oscille entre les éclats du succès, ses amours de haute volée et le bruit sourd de son destin solitaire. S'il fallait d'un mot résumer la vie de celle qui, entre intuitions et rébellions, aura été l' «ange exterminateur d'un style XIXe siècle» (Paul Morand), le terme serait double. Double, comme les fracas de la gloire qui entoureront cette reine de l'Allure et le bruit sourd de son destin d'amazone solitaire. Double, comme les deux C, symboles enlacés du succès de sa maison, fondée en 1914, qui aujourd'hui encore, vingt-sept ans après la disparition de la Grande Mademoiselle, authentifient sacs, parfums, foulards, boutons et autres essentiels accessoires de son sceau arc-bouté. Des initiales autrefois gravées dans le bois rugueux de la table de son arrièregrand-père, Joseph Chanel, cabaretier à Ponteils. Ce hameau cévenol au cœur d'une forêt de châtaigniers, berceau de sa famille paternelle paysanne mais sans terre, dont jamais elle ne prononcera le nom. Et pour cause.

    S'acharnant tout au long de sa vie à forger sa légende pour «masquer ses origines» (Edmonde Charles-Roux), Gabrielle Chanel préfère ancrer son histoire sur les bords langoureux de la Loire, où elle est née le 19 août 1883, aux hospices de Saumur, ville célèbre pour son école de cavalerie. Enfant de l'amour, elle est la deuxième fille d'Albert Chanel, camelot («négociant», dira le Who's Who), et de Mlle Jeanne Devolle, couturière, Trois maternités plus tard, enfin mariée, à 33 ans, sa mère s'éteint. Epuisée. «On m'a tout arraché et je suis morte», confiera Chanel à son amie de la dernière heure, Claude Delay (Chanel solitaire, Gallimard), avec laquelle pendant dix ans elle partagera l'ultime version de sa vie. «J'ai connu ça à 12 ans», ajoute-t-elle, justifiant ainsi sa résistance aux coups du destin. Et son étrange passion pour la solitude, que ni sa célébrité ni ses amours de haute lignée ne parviendront à effacer.

    Double, enfin, comme Coco, ce surnom aux accents conquérants dont elle dit qu'il lui vient de son père. Parti à jamais tenter sa chance en Amérique, pour tout héritage Albert lui laisse un nom, mademoiselle Chanel, et le statut d'orpheline. Ce mot qu'elle ne pourra jamais entendre sans être «glacée d'effroi».

    A peine âgée de 15 ans, Gabrielle, en compagnie de Julia, sa sœur, est confiée aux religieuses du monastère d'Obazine, un orphelinat à quelques kilomètres de Brive. En chemisier blanc et jupe noire - source peut-être de «son paupérisme rageur [qui] se plaisait à dévaluer jusqu'aux pierres précieuses» (Paul Morand, dans L'Allure de Chanel, éd. Hermann) et de cette rigueur qui deviendra la quintessence du style Chanel - tout au long des jours sans fin elle apprend à ne compter que sur elle-même pour gagner les galons de sa liberté.

    N'aspirant pas au noviciat, à 18 ans, Gabrielle est confiée aux dames chanoinesses de Moulins, qui lui apprennent le pointilleux métier de couseuse. Elle y retrouve sa tante Adrienne, dernière-née de ses grands-parents prolifiques. Elles ont le même âge et surtout la même ambition: s'en sortir. Habiles à manier le fil et l'aiguille, les voici bientôt placées en qualité de commises dans une maison spécialisée en trousseaux et layette. Dans cette ville de garnison où les jeunes gens de bonne famille viennent apprendre l'art de la guerre en aiguisant leurs armes de conquérants, leurs jolies silhouettes ne manquent pas d'être remarquées.

    Très courtisée, Gabrielle, qui ne compte pas partager le sort anonyme des cousettes, est prête à prendre des risques. Même si la frontière est fragile entre sa volonté et le péril de passer pour une femme facile. En quête d'un avenir dont elle refuse qu'il se limite à broder sur des draps de coton fin le chiffre d'heureuses élues qui ont croisé l'amour officiel, le soir elle tente sa chance là où d'autres feront basculer à jamais leur destin. La voilà poseuse sur la scène d'un caf' conc' où elle fait ses premières apparitions, silencieuses.

    Bientôt, elle ose pousser la chansonnette. Au beuglant de La Rotonde, face à ces officiers du 10e régiment de chasseurs à cheval venus chahuter la gommeuse à la voix aussi frêle que sa taille, «tout engagée dans la guerre de plaire» (Edmonde Charles-Roux). Gracieuse, avec sa lourde chevelure sombre comme son regard, ses seins sveltes qui marqueront son style et ses jambes maigres de garçon, elle devient bientôt la favorite de ces messieurs. Qui qu'a vu Coco dans l' Trocadéro? A peine entamé son air fétiche, elle recueille «un tonnerre de rigolade». En guise de bis, la cousette qui découvre l'enivrement du succès est rappelée à coups de «Coco!» joyeux ou graveleux. Qu'ils sont loin ses rêves de tendresse paternelle susurrée à l'heure du marchand de sable!

    La découverte de la vie de château
    La vérité sur les premières années de Chanel, c'est à Edmonde Charles-Roux qu'on la doit. Dans sa biographie, L'Irrégulière ou Mon itinéraire Chanel (Grasset), l'ancienne rédactrice en chef de Vogue traque chaque détour de sa vie pour y retrouver cette vérité qu'en «femme fatale à elle-même» (François Nourissier) Chanel a désespérément cachée. Par crainte de perdre sa force?

    Gabrielle, qui n'a pas le talent de Mistinguett, cette autre gommeuse ravageuse en robe de paillettes noires dont la réputation remonte jusqu'à Moulins, sera sauvée par Etienne Balsan de ce destin sans avenir autre qu'horizontal. Son premier homme, son amant peut-être, son ami pour toujours est un riche gentleman rider qui vient de rendre ses galons d'officier pour se consacrer à l'élevage et aux courses. Il lui fait découvrir la vie de son château, Royallieu. Pendant près d'un an, elle apprend les arcanes de la haute société. Vite. Mais elle s'ennuie et elle pleure. Elle a 18 ans et nulle part où se réfugier.

    Alors elle s'échappe en jodhpurs de peau, ces culottes de lad qu'elle s'est fait copier par un petit tailleur du coin, pour humer tout à son aise l'atmosphère rassurante des écuries. Quand elle ne se fabrique pas des petits chapeaux singuliers - «si secs, si sévères» - qu'elle porte «très enfoncés» avec ses premières robes cousues main pour assister aux courses, ce rendez-vous où les demi-mondaines paradent sur la pelouse dans des tenues qui flattent les avantages, leur seule fortune. Avec son style d'écolière austère, on la remarque. Et on la juge. Celle qui rendra la mode «honnête» s'en moque. Froufrous et tralalas ne sont déjà pas son genre.

    Galopant à cru dans la forêt de Compiègne, Coco trace à perdre haleine les chemins de son avenir. Même si la célèbre Emilienne d'Alençon règne encore sur le cœur d'Etienne Balsan. Peu lui importe, Gabrielle n'aime pas. Du moins, pas de cette irrésistible passion qui, deux ans plus tard, la fera suivre Arthur Capel, dit «Boy», jusque dans la capitale. Où il l'installera boulevard Malesherbes, dans la garçonnière de Balsan, son meilleur ami qui ne la regrette pas encore.

    Boy est un anglais au teint mat et au passé mystérieux - on le dit fils naturel du banquier Pereire - dont elle sera l'inavouable compagne pendant neuf ans. Homme de cheval - il a une écurie de polo - et d'affaires - il a fait sa fortune dans les frets charbonniers - Capel aime cette rebelle qui se révèle plus «fauve» que «moineau abandonné». Mais c'est une jeune veuve anglaise sans autre intérêt que d'être fille de baron qu'il épouse. Un mauvais virage sur une route du Midi à la veille de Noël 1919, alors qu'il rejoint sa régulière qui attend un second enfant de lui, et Boy sort de la vie au volant d'une automobile trop rapide. «Je perdais tout en perdant Capel», dira Chanel cinquante ans plus tard. Tout et plus encore. Car c'est Boy qui prend au sérieux ses velléités de travail, dont Balsan pensait qu'elles n'étaient qu'une toquade. C'est lui qui finance l'ouverture de sa première boutique de modiste, Chanel Modes, au 21 de cette rue Cambon qui deviendra à jamais son fief. Repliée sur Deauville pour cause de guerre, c'est en 1914 que Coco, avec Capel à ses côtés, fera ses premières gammes de couturière en habillant les belles élégantes réfugiées dans leurs maisons normandes.

    L'étoffe manquant, elle taille des robes de sport dans le jersey des sweaters de lad, ces tricots d'entraînement qu'elle a depuis longtemps adoptés. Libérant le corps, abandonnant la taille, Chanel annonce cette «silhouette neuve» qui lui vaudra sa réputation. Pour s'y conformer, les femmes s'efforcent d'être «maigres comme Coco», qui d'un coup de ciseaux libérateur devient la «première femme aux cheveux courts». Et se trouve bientôt à la tête d'un empire forgé à la force de ses poignets, qui ont la «fragilité de l'acier». Trois ans plus tard, mademoiselle Chanel, qui emploie plus de 300 ouvrières, rembourse enfin Boy, refusant à jamais le statut de femme entretenue.

    Tout est en place pour un avenir qui s'annonce brillant mais, encore une fois, solitaire. Ne manque à Coco Chanel, en deuil de son amour, que d'avoir ses entrées dans le cercle étriqué des gens du monde, au contact desquels jamais elle ne perdra sa lucidité.

    Celle qui l'introduira, c'est Misia Sert, cette belle Polonaise, «être rare qui ne saurait plaire qu'aux femmes et à quelques artistes» et que Satie surnommait «la mère Tue-Tout». «Parasite du cœur» (Paul Morand), la muse de Bonnard et de Vuillard, l'égérie de Diaghilev et de Stravinsky sera sa «seule amie» (et peut-être plus encore). Misia, dont Coco disait: «Le chagrin d'autrui l'attire comme certains parfums attirent l'abeille», avait senti son génie. Et, «avec son flair de revendeuse», elle lui ouvre les portes de la mondanité.

    De 1920 à 1939, Chanel - elle a lancé Nº 5, son premier parfum - règne sur Paris. Six mois après la mort de Boy, à son retour d'un long voyage en Italie avec Misia et sa bande, elle s'installe au Ritz - des années plus tard, elle y retrouvera ses habitudes de femme blessée. Et elle reprend sa «vie de dictateur»: succès et solitude sont son lot quotidien. Coco ne pleure plus. Elle se perd dans le travail. Et elle invente. Le costume de sport, les faux bijoux qu'elle fait dessiner par François Hugo, le sac en bandoulière parce qu'elle se lasse d'égarer le sien, et les sandales à semelle de liège qu'elle s'est fabriquées pour marcher sur le sable brûlant de la plage du Lido, à Venise. D'un coup de ses ciseaux fétiches, qu'elle porte toujours autour du cou retenus par un bolduc blanc, elle démode les couturiers, «tue l'excentricité» et donne aux femmes l'allure de leur liberté.

    Paris vibre du son nostalgique des violons tsiganes qui accompagnent les nuits blanches des Russes émigrés. Chanel rayonne et n'est plus totalement seule. Elle partage sa vie avec un homme, le grand-duc Dimitri, qu'elle a installé dans sa villa de Garches, où elle abrite déjà Stravinsky et sa famille. Ors, broderies et zibelines de Sibérie entrent dans ses ateliers, tandis que le cousin du tsar assassiné lui révèle les raffinements de palais et la misère des rois déchus. «Les princes de sang m'ont toujours fait immensément pitié, confiera-t-elle à Paul Morand. Leur métier, quand ils l'exercent, est le plus triste qui soit et, quand ils ne l'exercent pas, c'est pire.»

    Car c'est un autre seigneur, le duc de Westminster, rencontré à Monte-Carlo, qui va entrer dans sa vie alors que son propre empire s'étend. Et que sa réputation n'est plus à faire. «Bend'or», du nom du fameux étalon de son père, possède une immense fortune, mais il est la «simplicité même». «Simple comme un clochard», dira Chanel, pour qui son amant devient le symbole absolu de l'élégance. La preuve? Il ne porte «jamais rien de neuf». Des landes d'Ecosse où le duc chasse les grouses au pont de ses yatchs, de l'Irlande aux Carpates en passant par Heaton Hall, son château, pendant six ans celui qui a trop de maisons pour toutes les connaître sera à ses côtés. Mais, c'est inscrit dans le destin de l'éternelle fiancée, Gabrielle Chanel ne deviendra pas anglaise. Benny est charmant, pourtant elle s'ennuie, «de cet ennui sordide de l'oisiveté et des riches». Elle exige qu'il se marie. Rideau. Lui restera ce goût des vestes de tweed usé qu'elle a chipé à «l'homme le plus riche d'Angleterre». Et quelques théories fracassantes sur l'argent.

    «N'épousez jamais un homme qui a un porte-monnaie», conseillait, péremptoire, celle qui savait si bien de quoi elle parlait, jugeant à jamais les hommes sur leur façon de dépenser. Et qui a, sans doute, refusé de devenir duchesse, comme si elle voulait rester «de son propre fait, orgueilleusement, de celles qu'on n'épouse pas» (Nourissier).

    Gabrielle Chanel, qui a rayé très tôt de sa vie ce qui lui restait de famille de sang au profit de celle du cœur, préfère les doutes des artistes, ses seuls vrais amis, aux fastes princiers: Cocteau, Picasso, Darius Milhaud, Serge Lifar, Diaghilev - dont elle paiera l'enterrement à Venise, en 1929, sans le dire - Stravinsky, dont elle finance sans le faire savoir Le Sacre du printemps, seront ses remparts contre les chimères de la mondanité. «Pour la première fois, Coco aime vraiment, affirme Misia Sert à Colette, dévoilant l'amour de son amie pour Pierre Reverdy. Fantasme ou parole d'intime? Le poète fut en effet le compagnon de l'ombre, l'amant sombre et difficile qui donne le goût des livres à celle qui cultive sa solitude.

    Des années moins roses s'annoncent pour Chanel: une grève de ses ouvrières, les premiers congés payés et l'arrivée d'Elsa Schiaparelli. Cette couturière d'origine italienne, amie des surréalistes, a ouvert sa maison en 1934. Chanel vacille mais se bat pour récupérer sa couronne. L'actualité ne lui en laissera pas le temps. Ou peut-être a-t-elle senti l'urgence d'une retraite. En 1939, peu après la déclaration de guerre, elle licencie tout son personnel et ferme la rue Cambon. Retour au Ritz, où la reine s'enferme. Pas tout à fait seule. Elle a une longue liaison avec Hans Gunther von D.., un officier allemand qui aime les jolies femmes. Et la vie facile. Il ne facilitera pas celle de Chanel. A la Libération, elle est arrêtée. Puis relâchée quelques heures plus tard. Sur une intervention, dernier geste du fidèle duc de Westminster? Mystère. Omettre est un art dont Chanel connaît encore parfaitement le maniement.

    Exilée en Suisse, rageuse mais fière, c'est d'un palace de Saint-Moritz qu'elle voit venir ce «new-look» qui donne aux femmes les poses minaudantes, souvenirs d'avant avant-guerre, contre lesquelles elle s'est tant rebellée. Tailles étranglées, jupes trop longues, Christian Dior, maître du jour, entrave à nouveau les femmes, allant à contre-courant des convictions de la Grande Mademoiselle. Il lui faudra quelques années encore pour se remettre de ce coup du destin sur son propre terrain.

    En 1953, à 70 ans, Chanel prépare son retour et réintègre la rue Cambon. Après un premier essai - une collection ratée lui valant les salves de la presse qui l'a tant portée aux nues - défendu par le journal Elle (Hélène Lazareff en tête) et reconnu par les acheteurs américains, son style retrouve les faveurs des femmes. Ses vêtements, simples mais justes, sont l'uniforme préféré des femmes modernes, dont Jackie Kennedy, en novembre 1963, dans son tailleur rose taché de sang, sera le symbole fracassé. Copié, plagié, le «style Chanel» est plus qu'une mode, un phénomène. Mais 1968 l'attend au tournant de la révolution. Chanel, pour qui «les modes sont bonnes quand elles descendent» mais pas quand elles viennent de la rue, se défend et tente de rester hors d'atteinte, sûre de ses prérogatives: elle seule donne les mots d'ordre.

    Plus maigre et mordante que jamais, plus injuste aussi, despote isolée entre ses paravents de coromandel et ses lustres aux éclats froids du cristal, elle se réfugie dans les rites des essayages et de ses exigences, entourée de ses courtisans et mannequins. Sans amour. «Furieuse et droite comme un capitaine sur le pont d'un vaisseau qui sombre», écrira Françoise Giroud dans L'Express. Cherchant dans les miroirs de l'escalier de sa maison de couture, où elle se cache les jours de défilé, à saisir les reflets de sa gloire qui jamais n'est parvenue à effacer les blessures de son désespoir intime. «Les vraies réussites sont fatales», disait celle qui est retournée vivre dans son appartement du Ritz. Et qui travaillera jusqu'au dernier soir de sa vie, le 10 janvier 1971. Un dimanche, ce jour consacré au repos et à la famille. Tout ce qu'elle déteste.

    (biographie prise du site internet : http://www.couleurparfum.com/biographie/chanel,fr,0,7,32.html)

    48 commentaires
  • Persos photos

    Très souvent quand on est pas dans "les standards" (Dieu que je déteste ce terme...) il faut savoir ou essayer de trouver des fringues dans lesquels on aime être et surtout qui soient adaptés à sa taille ou morphologie. Dans mon cas (1m80, un certain poids, un bon 44 et une longueur de jambre 34...) j'ai personnellement développé une méthode de recherche qui me permet de trouver ce que j'aime. Pour commencer je trouve (personnellement) que le meilleur endroit pour acheter reste ebay : que se soit ebay USA, ebay UK ou ebay France. J'ai trouvé énormément de vêtements et chaussures (un bon 43...) sur ebay. Des fringues quelques fois portés une fois ou deux fois mais à l'aspect neuf comme si ils venaient d'être acheter dans un magasin. Pour les chaussures généralement je demande la longueur et je compare avec une paires de chaussure dans lesquelles je sais que je serais confortable. Bien entendu la hauteur du talon est indispensable à connaitre. J'aime personnellement être à plat ou avec 6 à 8cm de talon.

    Persos photos



    Bien entendu en cherchant sur ebay, il faut bien cibler sa recherche : mots-clefs, taille, longueur, matière, longueur. Au début on patauge après mais ensuite cela devient un vrai jeu car quand on tombe sur l'article voulu à un prix défiant toute compétition et bien ça fait plaisir !
    Dernièrement en date j'ai shoppé une petite jupe pêche avec un voilage de tulle au-dessus, une petite ceinture afin de fignoler les détails. Une jupe de chez Noa Noa au prix de 24£ au lieu de 75£ ça le fait... Bien entendu frais de port pour chez moi inclus !

    Voici mes shopping websites préférés :

    http://www.ebay.co.uk/

    http://www.ebay.com/

    http://www.brandalley.fr/Femme/


    http://fr.vente-privee.com

    http://www.bazarchic.com/



    En espérant que vous aimerez ces petits "trucs" !!


    Bien à vous,

    Ichigo





    votre commentaire
  • L'histoire du blue jeans

    Vêtement porté par les travailleurs manuels américains à la fin du XIXème siècle, le blue jeans est devenu emblématique de l'American way of life, avant que la mode du jean ne gagne tous les continents et toutes les catégories sociales. Le confort et la robustesse de ce pantalon à coutures coupé dans la toile denim lui ont permis de résister aux modes et de s'y adapter.

    D’où vient son nom ?

    Le tissu utilisé pour la confection du blue jean est le denim. C'est une toile de coton à armure de serge qui était originellement tissée à Nîmes, d'où son nom (denim viendrait phonétiquement de « de Nîmes »).
    Le tissage très serré est fabriqué à partir d'une chaîne teinte en bleu (du moins à l'origine) et d'une trame écrue ou blanche. Le bleu de la chaîne provenait d'une teinture dite « blu di genova » (en italien, « bleu de Gênes ») et le nom jeans viendrait d’une déformation de la prononciation du mot « genovese » (génois).

    La naissance du blue jean

    La longue histoire du jeans débute dès le XVIème siècle à Nîmes, là où est fabriquée la toile denim. Mais c’est en 1853, en pleine ruée vers l'or, que Levi Strauss a l'idée de confectionner un pantalon dans la toile de ses tentes, car les conquérants de l'Ouest ont alors besoin de vêtements de travail solides. Vers 1860, Levi Strauss poursuit la fabrication de pantalons en remplaçant la toile de tente par de le coton fabriqué à Nîmes, tout aussi robuste mais coloré en bleu par des bains d'indigo : c’est la naissance du blue jean.

    La conception du blue jean Levi Strauss

    Il faut attendre 1873 pour qu’apparaissent sur le blue jean les surpiqûres en fil orange sur les poches arrière, en forme d’arc figurant un aigle, ainsi que les poches à rivets.
    Dès l’année suivante, pour empêcher la contrefaçon, Levi Strauss et Jacob Davis obtiennent le brevet pour les rivets sur les poches, qui les empêchent de se déchirer.
    Le 501 fait son apparition sur le marché en 1890.

    Le blue jean des Etats-Unis à l’Europe

    Pendant la grande crise de 1929, le jeans est adopté par les paysans et les travailleurs et en 1933, dans le cadre du New Deal, des dizaines de milliers de salopettes en denim sont distribuées aux déshérités. Vers 1935, la mode du blue jean se répand au sein d'une population estudiantine et artistique et ce pantalon s'introduit dans les garde-robes féminines. Le jeans débarque en Europe avec les GI's en 1945. En Europe, ce vêtement a toujours été plus cher que dans son pays d'origine. Il faut attendre cette période pour que le jeans se décline aussi en noir.Dans les années 50, le jeans, associé au blouson noir et à la Harley, devient le symbole de la révolte des jeunes. James Dean et Marlon Brando contribuent à son succès.

    Le blue jean dans les années 70

    Le blue jean devient un code vestimentaire chez la génération hippie. Sa forme change avec les jeans patte d'éléphant et il se personnalise. En effet, on le customise, on le peint, on le brode, on y coud des coquillages, des strass, des bijoux, des motifs de fleurs ou « peace and love ». En France, le jeans s'impose comme un bien de très grande consommation avec le choc pétrolier de 1973. Ce marché se développera de façon exponentielle jusqu'au début des années 1980. A New York, une sélection de jeans décorés exposés au musée d'art contemporain pendant deux mois attire 10 000 visiteurs. C’est en 1978 qu’apparaissent les stone-washed, des jeans délavés par un traitement qui consiste à bombarder le tissu de petites pierres ponces.


    Le blue jean des années 80 à nos jours

    Après un recul au profit des slacks, pantalons de toile plus légers et plus habillés, le blue jean revient sur le devant de la scène en 1986 et s'impose comme un produit de mode à part entière. Dans les années 1990, l’apparition du surteint donne un coup de jeune à ce grand classique, bientôt suivie par la vague du Lycra en 1994. Le jeans lycra rencontre un grand succès auprès des femmes et en 1996, pour la première fois en France, les femmes achètent autant de jeans que les hommes. En 2000, Rica Lewis devient numéro un du jeans sur le marché de la grande distribution. Aujourd'hui, le jean est devenu un signe identitaire d'appartenance à une communauté. Sa forme (le slim, le boot cut, le relax, le regular, etc.) ou sa marque (diesel, notify, acquaverde, pepe jeans) est un signe de ralliement à un stéréotype social. Du vêtement utilitaire porté par les pionniers aux créations des plus grands stylistes, le blue jean aura marqué l’histoire du XXème siècle.

    Le jean

     

     


    16 commentaires
  • Comment porter les spartiates de manière décontractée ?

    Quand on part en vacances, à la plage par exemple, la spartiate à privilégier est la tropézienne en cuir naturel, qui vient remplacer cet été, la tong. On l'associe à une petite robe ou un tee-shirt ultra coloré pour un quotidien fashion, flashy et décontracté à la fois. Côté couleurs, on l'adopte en marron ou en noir. Elles seront passe-partout et on pourra facilement les assortir à un maillot ou un short. Côté matières, on privilégie le cuir mais on peut tout à fait acheter des spartiates en plastique qui viendront se substituer aux traditionnelles "méduses".

    Les spartiates peuvent-elles être portées de manière plus citadine ?

    Evidemment, il sera difficile d'assortir ses spartiates à son tailleur. Mais pour un look très urbain, on peut très bien les porter avec un tee-shirt "boyish" - masculin -, un legging ou un jean et une petite veste. L'idéal est alors de privilégier les spartiates basses type "K-Jacques". On se les procure en version métallisée : argent pour le soir et surtout bleu Klein pour la journée. Et pour celles qui peuvent se permettre de porter un combishort, on opte pour la spartiate montante, zippée de préférence.

    Les spartiates peuvet-elles être un accessoire de soirée ?

    Pour compléter une tenue de soirée, il suffit d'opter pour la spartiate couleur argent, cuivre ou or. On l'associe à une robe du soir longue, type drapé de déesse, foulard ou à maxi motifs. Le soir, il vaut mieux privilégier la spartiate basse. Elle est plus pratique et surtout plus accessible. En règle générale, évitez d'investir dans la spartiate sous le genou si vous n'avez pas des jambes très fines. Il faut éviter l'effet "gigot"!

    Avec quels accessoires assortir les spartiates ?

    Tout dépend de votre look. En soirée, on joue la carte de la spartiate minimaliste. On l'assortit à une petite barrette métallisée ou à un bandeau lamé et pourquoi pas une toute petite bourse à cordon de cuir. L'essentiel est de rester "soft". En journée, il faut oser le côté métallique à fond. On marie les spartiates à un maxi sac jaune ou bleu, un bracelet en bakélite coloré, des grandes créoles et des lunettes de soleil années 1960. A la plage ou en vacances, on évite de faire dans le "too much". On associe les spartiates à une petite ceinture en bois cerclé et à des lunettes de soleil aux verres fumés brun chocolat ou métallisées argent.

     

    Informations prisent du site : http://www.linternaute.com/femmes/luxe_mode/conseils/0708-spartiates.shtml

     

    Comment porter les spartiates ?


    201 commentaires